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L'édito du président
Selon que vous soyez vainqueur ou vaincu...
"Quand, le 11 novembre 1918, à 11h00 du matin, un clairon sonna le « Cessez-le feu », repris immédiatement par tous les clairons, français et alliés, présents sur le front, il est difficile d’imaginer l’intensité des sentiments qui ont pu animer nos soldats et tous leurs compagnons
d’armes, et quelques heures plus tard, l’ensemble du peuple français.
Le premier sentiment qui a envahi tout le front et le coeur de chaque combattant, quel que soit son grade, est ...." 230- Edito.pdf
3E BATAILLON
Approfondissements de la formation militaire
"Alors que les élèves du 3e bataillon sont en pleine période de formation académique, les approfondissements de la formation militaire (AFM) leur permettent de ne pas oublier les
éléments fondamentaux du combat. Ainsi, régulièrement, ces AFM, se déroulant sur deux jours et trois nuits, les ramènent à ce qu’ils préfèrent à Saint-Cyr : le terrain.
La première séquence d’AFM s’est déroulée aux abords de l’étang de la Lande d’Ouée, ..." 230-3e bat.pdf
UN ARMISTICE TROP PRÉCOCE ? (André Bourachot)
"À partir de fin août 1918, les capacités d’action offensive de l’armée allemande vont progressivement s’amenuiser. Le 8 août, Foch, maréchal de France depuis 48 heures, lance une offensive franco-anglaise en Picardie pour réduire le saillant de Montdidier. Ludendorff écrira dans ses mémoires que « le 8 août fut le jour noir de l’armée allemande dans l’histoire de cette guerre, je ne vécus pas d’heures plus pénibles […] ». En effet, plusieurs divisions se sont débandées et des manifestations de soldats se produisent au sein des renforts qui montent en ligne.
L’armée allemande n’est pas encore battue ; elle montrera dans les combats à venir qu’elle a encore de la ressource, mais elle est à l’image du pays, épuisée. L’échec des dernières offensives,
le blocus, les privations alimentaires, l’accablement de l’allié autrichien, la désaffection..." 230 -Bourachot.pdf
LES YEUX DE CHIMÈNE… (Dominique Mariotti)
"Il faut sans aucun doute se réjouir de voir soudain le politique regarder les armées avec plus d’attention et s’engager à les soutenir, au moins financièrement. Il faut croire aussi que ce n’est pas une lubie passagère. L’horizon de ce siècle est lourd de menaces.
Mais il faut nous inquiéter de trop de sollicitude. Nous serions désormais les seuls à détenir et à savoir promouvoir les vertus capitales dont la nation a besoin pour être et durer. Ce peut être
flatteur, c’est en fait terrifiant ! Repenser au service militaire comme..." 230- Mariotti.pdf
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La Rédaction
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